L'application ROCOLOLO (disponible en version PC ou Mac) est un complément multimédia de la méthode le lecture Lutin Latulu. Elle peut cependant être utilisée indépendamment de son utilisation.

Ce n'est pas à proprement parler un logiciel d'orthographe.

C'est un outil destiné à faire travailler la compétence phonographique.

Ce logiciel, destiné au cycle 2 (essentiellement aux CP) s’appuie sur une base de près de 1200 mots à écrire. Ces mots sont illustrés et prononcés.

Il propose une seule forme d’exercice (écrire des mots à l’aide d’un clavier), mais une étude poussée des variables didactiques rend l’activité extrêmement riche.

Principe de fonctionnement

• Le dessin du mot à écrire s’affiche. Il peut être prononcé à la demande.

• L’élève écrit le mot sur le clavier réel ou virtuel.

• Il clique sur le chapeau de Rocololo pour avoir de l’aide.

• Il peut effacer, corriger et enfin valider.

• Après validation, la barre de progression (sur la gauche) évolue.

Un scénario évolutif

• Au fur et à mesure des essais / erreurs, le programme apporte de plus en plus d’aides et de feed-backs pour étayer l’activité de l’enfant.

• S’il le souhaite, l’enseignant peut faire varier lui-même l’ensemble des paramètres de l’activité :

On peut choisir des mots de 2 à 12 lettres.

Le mot peut être lu par syllabes « MO - TO »

Rocololo peut prononcer ce que l’enfant a écrit.

Les lettres justes peuvent rester affichées à la tentative suivante.

Des tirets peuvent indiquer le nombre de lettres.

Un appui long sur une touche peut donner le nom de la lettre.

On peut choisir les capitales, scriptes ou cursives pour les affichages.

L’enfant peut saisir grâce au clavier virtuel (alphabétique ou Azerty).

Le clavier peut ne montrer que les lettres qui constituent le mot.

Les 7 modes de travail

Les scénarios pédagogiques proposés s’adaptent à toutes les utilisations :

• des entraînements ciblés sur chaque son du français ;

• des suivis individuels avec évaluation hebdomadaire ;

• des parcours automatiques (le logiciel prépare pour chaque élève un programme de travail, ce qui lui permet d’évoluer à son rythme) ;

• une activité de repli où les élèves tentent librement d’écrire les mots qu’ils souhaitent ;

• la possibilité pour l’enseignant de créer des exercices originaux en fonction des besoins spécifiques de ses élèves.

Le mode Entraînement Lutin Latulu

Les utilisateurs de la méthode Lutin Latulu ont à leur disposition un fichier d’entraînement spécial qui s’appuie sur les mots travaillés dans la méthode.

Les élèves bénéficient alors d’une aide supplémentaire : en cas d’erreur sur le graphème du mot à écrire, le mot-clé correspondant est affiché.

Le mode progressif

L’enseignant qui le souhaite peut n’utiliser que le mode progressif, totalement transparent pour lui.

Les élèves inscrits en début d’année progressent à leur rythme dans une programmation de mots qui suit non plus une étude des sons, mais une complexification croissante (180 mots à écrire sur l’année).

Chaque fois que l’élève est identifié, il reprend là où il avait laissé l’activité lors de sa session précédente.

L’enseignant qui le souhaite peut n’utiliser que le mode progressif, totalement transparent pour lui.

Les élèves inscrits en début d’année progressent à leur rythme dans une programmation de mots qui suit non plus une étude des sons, mais une complexification croissante (180 mots à écrire sur l’année).

Chaque fois que l’élève est identifié, il reprend là où il avait laissé l’activité lors de sa session précédente.

L’enseignant qui le souhaite peut n’utiliser que le mode progressif, totalement transparent pour lui.

Les élèves inscrits en début d’année progressent à leur rythme dans une programmation de mots qui suit non plus une étude des sons, mais une complexification croissante (180 mots à écrire sur l’année).

Chaque fois que l’élève est identifié, il reprend là où il avait laissé l’activité lors de sa session précédente

L’enseignant qui le souhaite peut n’utiliser que le mode progressif, totalement transparent pour lui.

Les élèves inscrits en début d’année progressent à leur rythme dans une programmation de mots qui suit non plus une étude des sons, mais une complexification croissante (180 mots à écrire sur l’année).

Chaque fois que l’élève est identifié, il reprend là où il avait laissé l’activité lors de sa session précédente.

Le mode jeu

Dans ce mode, aucun mot n’est imposé. C’est l’élève qui choisit le mot qu’il souhaite écrire.

Tout mot bien orthographié est prononcé et/ou représenté.

Ainsi, l’élève (ou le couple d’élèves) peut découvrir par le jeu de nouvelles correspondances grapho-phono.

Une bibliothèque de dessins (prononcés), groupés par thèmes est proposée pour donner des idées de mots à écrire.

Le mode Évaluation

Les utilisateurs de la méthode Lutin Latulu retrouvent ici les mots proposés dans les activités hebdomadaires d’évaluation « papier ». Celles-ci suivent la programmation des Ateliers d’ Écriture Réfléchie qui anticipe les sons étudiés en lecture.

Une analyse orthographique fine des productions individuelles permet de prendre en compte dans le score la construction du système phonographique. L’enseignant peut d’ailleurs, après coup, visualiser les erreurs effectuées par les élèves.

Le mode personnalisé

L’enseignant qui le souhaite peut se plonger dans l’analyse des variables didactiques de l’activité.

Il peut jouer sur plus d’une vingtaine de paramètres et sélectionner les mots dans une base de presque 1200 mots.

Les exercices composés peuvent alors être sauvegardés et réutilisés ultérieurement (présence d’une option d’enregistrement).

Il peut ainsi adapter l’activité à un objectif précis et / ou faire travailler un élève ou un groupe d’élèves en différenciation sur une difficulté bien identifiée.

L’enseignant qui le souhaite peut se plonger dans l’analyse des variables didactiques de l’activité.

Il peut jouer sur plus d’une vingtaine de paramètres et sélectionner les mots dans une base de presque 1200 mots.

Les exercices composés peuvent alors être sauvegardés et réutilisés ultérieurement (présence d’une option d’enregistrement).

Il peut ainsi adapter l’activité à un objectif précis et / ou faire travailler un élève ou un groupe d’élèves en différenciation sur une difficulté bien identifiée.